Méthode Gesret : règles de base
Donc : soigner les symptômes ne conduira jamais à la guérison et condamnera le sujet à consommer des substances médicamenteuses, qu'elles soient allopathiques, homéopathiques ou autres.
Exemples :
la structure de l'oeil gouverne la fonction de la vision
ou celle de l'oreille l'audition, la cause est entendue.
Donc dans la logique, la structure thoracique gouverne
celle de la respiration.
L'erreur la plus grossière de la médecine, concernant la
respiration, consiste donc à n'effectuer que des examens
fonctionnels, jamais un seul examen structurel
contrairement à TOUTES les autres spécialités.
Donc : il réagira en conséquence en utilisant les moyens à sa disposition : cicatrisation, défenses immunitaires, sécrétions diverses (corporelles et comportementales)
Donc : tout dérèglement portant atteinte au système périphérique (absence d'information d'un territoire ou informations parasites supposées en provenir) aura un retentissement sur le comportement psychoaffectif du sujet.
Donc : pour qu'un eczéma (ou un psoriasis) se développe
dans un secteur métamérique cutané précis, que des
informations (vraies ou projetées) soient perçues par le
système central comme provenant de ce territoire. Voir "Pathologies
immunitaires : les zones cibles"
- de même pour les pathologies de type asthmatiformes :
que des informations projetées soient perçues par le
système central comme provenant du plexus pulmonaire.
Exemple : une information articulaire (subluxation chondrocostale) sera perçue comme un corps étranger tentant de pénétrer dans la/les bronche(s).
La première défense sera la toux pour en tenter
l'expulsion ; la seconde sera le mucus pour l'enrober et
le neutraliser ; la troisième (ultime défense) sera de
spasmer la/les bronche(s) pour interdire une pénétration
plus profonde.
Idem pour le spasme pharyngé : la compression du
glosso-pharyngien se traduit par des paresthésies
pharyngées (produites en temps normal par la présence d'un
corps étranger) ; réflexe de toux qui augmente les à-coups
sur la fibre ; augmentation de la toux ; spasme du pharynx
en dernier recours : le corps étranger ne doit pas aller
plus loin.
Hypothèse
- si une petite zone précise d'un endroit quelconque du
corps est perçue comme "un trou", du au blocage des fibres
qui n'assument plus la liaison avec le système central (ou
médullaire), pourquoi la décision prise ne serait elle pas
de "combler" ce trou en donnant l'ordre aux cellules
périphériques de se multiplier (alors qu'après l'arrêt de
la croissance, il n'existe plus que la réplication
cellulaire).
Des cellules se multiplieraient pour combler "le trou",
mais comme la liaison avec le système central n'est pas
rétablie, elles continueraient à l'infini.
Ne serait ce pas là, le
mécanisme d'une néoformation ?
Pour l'instant, je n'ai confirmation de cette hypothèse
que sur les tumeurs du quadrant supéro-externe du sein,
toujours conjointes à une très importante subluxation
chondrocostale de la deuxième côte, du côté homolatéral.
Exemples :
- allergies = première côte droite subluxée
- asthme à l'effort = première côte et deuxième côte
- bronchites asthmatiformes = première, deuxième et troisième côte
- faux asthme ou spasme pharyngé = première cervicale et première côte
- eczéma = première côte et T9 à droite (foie)
- psoriasis = première côte et T9 à gauche (pancréas)
A la base : toujours un pelvis déstabilisé par une jambe courte (vraie ou fausse) ; asthme (allergies, eczéma), à droite ; psoriasis (et diabète) à gauche.
Les pathologies cutanées se développeront dans les
territoires métamériques qui correspondent aux étages
vertébraux, les plus en restriction de mobilité
articulaire, et qui sont à l'origine de messages
nociceptifs "projetés".
Exemples : l'eczéma au creux du coude est situé sur le
territoire métamérique du premier étage thoracique, racine
T1. Alors que la localisation classique d'un psoriasis du
coude sera située sur le territoire de la racine C8
(sortie inférieure de la 7ème cervicale). Mais dans les
deux cas, nous avons une correspondance avec le ganglion
stellaire (premier ganglion thoracique).
L'eczéma du creux poplité correspond au secteur du
deuxième trou sacré, alors que le psoriasis de la face
tibiale externe correspond à la 5ème racine lombaire
(l'avant du genoux, à la 4ème lombaire).
Exemples : un eczéma chez un nourrisson
nécessite une séance (parfois 2) et environ trois semaines
pour que toutes les lésions disparaissent.
Chez un adulte, entre 2 et trois séances, même délais.
Un psoriasis demande une première série de trois séances ;
les premières manifestations de guérison sont visibles
entre la 3ème et 4ème semaine. Les lésions commencent à se
résorber par leur centre, laissant place à un épiderme
normal. D'autres séances peuvent être nécessaires en cas
d'arrêt de récession des lésions.
Il faut compter entre six mois et un an pour que tout
disparaisse, suivant l'importance et l'ancienneté des
lésions.
Le spasme pharyngé nécessite une ou deux séances et
l'asthme (vrai) autour de trois séances suivant l'âge et
l'ancienneté de la pathologie.