Méthode Gesret : Les pathologies cutanées
Introduction
Les mécanismes sont identiques, il s'agit d'informations articulaires nociceptives perçues, à tort, par le système central comme provenant de zones métamériques cutanées. La réponse défensive se localisera dans ces zones sous la forme d'un eczéma ou d'un psoriasis.
Ce qui est différent entre l'eczéma et le psoriasis
Toutes les personnes qui sont atteintes d'eczéma ont un
bassin abaissé à droite et s'appuient toujours sur la
jambe droite (vraie ou fausse jambe courte) et la première
côte est toujours postériorisée à droite et subluxée).
Toutes les personnes qui sont atteintes de psoriasis ont
un bassin abaissé à gauche et s'appuient toujours sur la
jambe gauche (vraie ou fausse jambe courte). En plus du
premier segment thoracique, nous trouvons des restrictions
articulaires en relation étroite avec les territoires
métamériques où sont présentes les lésions mais un élément
fait toute la différence :
- le foie est en cause dans l'eczéma, par le sens de rotation de T9
- le pancréas l'est dans le psoriasis, par le sens opposé de rotation de T9.
Il existe bien un lien entre l'eczéma et le psoriasis, du fait qu'une certaine forme d'eczéma est psoriasiforme et qu'un psoriasis peut être eczématiforme.
Ce qui me permet ces affirmations
- la découverte de points réflexes, identiques dans leur principe au point de Mac Burney qui ne sont présent que dans le cas d'une pathologie viscérale.
- Ils permettent de détecter, par voie réflexe, la présence d'une anomalie fonctionnelle viscérale.(Foie, rate, pancréas, vésicule, etc. "Asthme Recherche fondamentale")
A ce propos, pourriez-vous répondre à ces questions
- pourquoi le point de Mac Burney est-il encore parfois présent, alors que l'appendice est enlevé depuis longtemps ?
- pourquoi un point identique est-il parfois présent du côté opposé ?
- qu'indiquent-ils dans ces cas ?
Depuis 1998, personne ne m'a répondu à ces trois questions simples, pourtant, je peux donner la réponse ;o))
Ce qui fait alterner l'asthme et l'eczéma
- Les informations nociceptives sont dominantes suivant un "accord" (comme en musique).
- L'accord peut varier en fonction de circonstances que je ne décrirai pas ici, mais la projection des informations dominantes peut varier entre peau et viscère.
- Le fait est bien connu, soigner un asthme conduit souvent à faire sortir un eczéma, et vice et versa.
- Les accords sont dits dominants, mais des sous accords existent conjointement, le corps répond prioritairement au premier. Si l'on arrive à le masquer, le second se fera entendre et deviendra à son tour prioritaire.
Soigner une réaction n'est pas soigner la cause !
Vouloir la supprimer ne fait souvent que déplacer le problème car :
Certains travaux actuels "psychoneuroimmunodermatologie" sont sur la voie de la compréhension des mécanismes des pathologies immunitaires.
Recettes
Pour traiter ce genre de pathologie, il suffit de procéder à une levée de toutes les restrictions de mobilité articulaire du rachis, de positionner correctement le bassin en position debout (pour obtenir une stabilité dans le temps ; 1er point important de ma technique), de positionner correctement l'étage T9 (fibres du pancréas ; 2éme point important), de positionner correctement l'étage T1 et la première côte (postériorisée à gauche, rarement bilatérale ; 3éme point important), ainsi que quelques petits détails (d'une très grande importance, que je livrerai pas ici car ils font partie de la formation).
J'ai une préparation à base de plantes pour le psoriasis
et l'eczéma sec, ainsi qu'une lotion pour le cuir chevelu.
La première préparation (aucune odeur, non grasse) est
destinée à être passée 2 à 3 fois par jour sur les lésions
(en petite quantité à bien faire pénétrer jusqu'à ce que
la peau ne soit plus sèche). Si les lésions sont sur tout
le corps, ne traiter que les lésions les plus épaisses car
la préparation est faite à base de teintures mères et
contient donc un tout petit peu d'alcool qui passe par la
voie cutanée. La seconde préparation est à utiliser en
lotion et friction sur le cuir chevelu, 3 à 4 fois par
semaine. Il est recommandé de faire des lavages avec un
shampoing très doux (type Ducray).
Cette préparation n'est pas faite pour traiter un
psoriasis comme le font les produits pharmaceutiques
courants dans ce genre de pathologie. Son principe
d'action est totalement différent.
Quand je l'ai conçue, j'ai posé comme problème : si dans
une pièce il existe deux assiettes remplies de graines -
l'une au milieu de la pièce - l'autre sur le radiateur -
ces dernières vont germer plus rapidement que les
premières. Donc, il faut faire baisser la température des
zones où se développent les lésions en réparant les
capillaires qui sont dilatés en permanence.
Pourquoi la température est-elle plus élevée sous ces zones ?
Simplement parce qu'il existe une vasodilatation permanente des capillaires !
Dans quel cas une zone cutanée a-t-elle ce type de comportement ?
Dans le cas d'un frottement répété et anormal d'une zone cutanée, la première réaction sera une vasodilatation des capillaires et si le phénomène mécanique persiste, la couche de kératine va s'épaissir et former un cal protecteur.
Le phénomène est très proche dans le psoriasis. Donc j'ai
d'abord cherché une plante qui pouvait aider à la
réparation des capillaires, une autre qui y améliorait la
circulation, une autre qui provoquait une vasoconstriction
(passagère pour ne pas avoir un effet de rebond) et une
autre ayant un pouvoir cicatrisant. Après quelques séries
d'essais en double aveugle, cette formule s'est avérée la
plus performante. Elle répare bien les capillaires et
donne de bons résultats sur la couperose et les (petites)
varicosités. Toujours est-il qu'elle favorise la
disparition des lésions en évitant leur auto entretien
(peau sèche irritant les terminaisons nerveuses et par
voir réflexe : vasodilatation).
Des dermatologues l'ont testée en parallèle des produits
classiques sur un même patient et en sont arrivés à la
conclusion qu'elle avait une efficacité surprenante. Vous
pouvez l'essayer et elle ne revient pas cher.